Lorsque jaune se dégustent des repos attendus
Le temps vacant se compte au nombre des mouillettes délicieusement façonnées dans une rangée qui ne demande qu’à se déguster au contact de la sève de l’œuf protégée de son auréole durcie
Le visage hâlé s’emplit de la chaleur combinée des mets audacieux et des rayons entre les persiennes.
Deux sphères jaunes jumelles et si lointaines, absentent l’une pour l’autre nourrissent de concert le rien, se prélasser, se délecter d’être là, enfin. De la pensée qui nous fait homme l’aspiration à être marguerite.
Flavie L.
Atelier d’écriture - lundi 23 avril 2007
Animé par J.P. Michallet